samedi, juillet 27, 2024
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    Patricia Atallah, chante la Fraternité et la Paix.

    Patricia Atallah  est une artiste d’origine libanaise. Elle a grandi en France.

    Captivée par la chanteuse « Fairouz » dont elle est une fervente admiratrice depuis son enfance, très tôt, elle fut interpellée par les chants d’Orient. Aussi, bercée par le chant patriotique, elle s’est imprégnée des chants traditionnels libanais, avec une remarquable touche occidentale. C’est naturellement qu’elle opta pour une formation lyrique qui fait d’elle aujourd’hui « une passerelle entre l’Orient et, l’Occident ». Elle a fait ce choix en toute conscience…

    Avant de se lancer dans cette voie en tant que « Messagère ». Elle a d’abord obtenu son Master en Marketing et Affaires Internationales. Elle avait alors une seule chose en tête : l’idée ferme de se spécialiser dans ce domaine; dans l’espoir de contribuer à la remise sur pied de son pays.

    Cela se fera autrement.

    On dit bien souvent, « que les voies du Seigneur sont impénétrables ».

    Fort heureusement, pour son public, c’est une véritable aubaine que ses proches aient détecté à temps son don.

    Un sixième sens pour la musique qui l’a entrainé à suivre des cours de chants et de piano au Conservatoire (et, des cours particuliers).

    Patricia Atallah est devenue « une militante de la Paix » très active et impliquée au sein de la diaspora libanaise.

    Elle fait don de sa voix gracieusement dans de nombreux concerts et, dîners donnés au profit de son pays natal.

    Une autre façon de servir sa patrie : Patricia chante son amour pour le Liban – pour un Liban pacifique, indépendant, libre et heureux.

    Son rêve est de vivre le plus souvent au Liban, de voyager régulièrement, et de conforter son choix celui d’être : « une ambassadrice qui charge sa voix avec une mission de Paix et de Réconciliation ».

    Fidèle à sa foi, elle dirige depuis plus de quatorze ans la chorale des enfants à la Paroisse Notre Dame du Liban rue d’Ulm, à Paris.

    Au cours des cérémonies religieuses, les prières des fidèles portent sa voix tendre et puissante avec ferveur et frissons. Lors de ses concerts de chants sacrés maronites et profanes qu’elle a donnés à Paris, Versailles, Genève ou  Berne l’effet est le même; on y retrouve un public ému aux larmes par la beauté de son timbre.

    Sa voix voluptueuse et chaleureuse, ressemble à son tempérament serein et accueillant.

    On dit d’elle : qu’elle est « pleine de cœur et de talent ».

    Ce n’est pas faux ! Patricia Atallah  est une étoile qui monte au firmament des interprètes de la musique classique; drapée de l’amour de son public et, des encouragements des associations franco-libanaises pour lesquelles elle s’implique généreusement (Oum El Nour qui lutte contre la drogue, Anta Akhi qui aide des jeunes gravement handicapés, les Anciens de Jamhour, les Anciens de l’USJ et bien d’autres…).

    Ses participations sont nombreuses, tant au niveau des spectacles, que lors d’évènements tels que : le 125e anniversaire de la naissance de Gibran, en 2008, l’opéra de chambre, « Les « Jardins d’Adonis » (création de son compatriote Wassim Soubra) et, le Festival de Baalbeck en 2014, tous deux organisés à l’Unesco.

    La jeune soprano s’est lancée dans son premier concert en solo, au Centre événementiel de Courbevoie, en présence du maire-député de Courbevoie Jacques Kossowski, et de la communauté franco-libanaise venue nombreuse pour l’écouter.

    Sur un programme recherché de grands classiques de la chanson et, de la poésie libanaises (les frères Rahbani, Roméo Lahoud, Zaki Nassif, Walid Gholmieh, Emile Raffoul, Halim el Roumi, Henri Zgheib, Saïd Akl, Fouad Sleiman…), le public se laisse transporter de joie et d’enthousiasme, ou bercer de nostalgie et d’émotion, par le jeu vocal riche et maîtrisé de Patricia Atallah.

    Le tout servi par un bel ensemble orchestral où le naï (Nabil Ghannouchi) et les percussions (Peter Cushin) ont fait merveille, aux côtés du piano (Mathieu Meyer), de la guitare (Mehdi Douss), de la basse (Helmi Neifar) et du violon (Nadhir Bouabid).

    J’ai fait mienne cette phrase de Alain Veinstein : «L’art n’exige pas seulement la passion, il veut avant tout la vérité, et d’abord, la vérité de la passion».

    Pour elle, chanter est un engagement, une Mission de Paix et un Moyen Sacré qui permet de transmettre un message profond d’amour et de réconciliation.

    Mattai Magazine vous propose d’écouter les liens ci-dessous pour découvrir la voix de Patricia Atallah, une artiste dont il ne faut surtout pas manquer « Le Message ».   

    https://www.youtube.com/watch?v=MmuA68BxJvQ

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